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pendjarivoire (dimanche, 07 août 2016 18:56)
L'ancien directeur de la Reserve de Biosphère de la Pendjari, soupçonné de trafic de bois dans la Réserve qu'il était supposé de garder, semble avoir postulé à un poste important de responsable de la biodiversité au PNUD, tandis qu'il devait être en prison. Espérons qu'au PNUD il font mieux leur travail et qu'ils enquêtent sur les raisons qui ont mené au démission de M. Kouton comme directeur du PNP.
pendjarivoire (jeudi, 26 mai 2016 10:27)
Les directeurs des parcs de la Pendjari et du W, ainsi que la directrice générale du CENAGREF ont été relevés de leurs fonctions. Leur incompétence et leur mauvaise foi ont enfin été reconnues officiellement.
Merci à Monsieur José Didier Tonato, ministre du cadre de vie et du développement durable, pour avoir pris cette décision tant attendue! Il faut à présent un appel á candidatures pour tous ces postes y compris celui du DG Cenagref et un test de sélection transparent. L'avenir des 2 Aires Protégées en dépend.
Nous souhaitons avoir désormais à la tête de ces structures de véritables hommes et femmes de terrain pour s'occuper réellement de la gestion de ces derniers refuges des animaux sauvages. En plus, un état des lieux devra être fait afin que ceux qui ont négligé les parcs en faveur des braconniers et des exploitants forestiers qui ne se sont jamais inquiétés dans leur sale besogne dans la Réserve de Biosphère de la Pendjari répondent devant les juridictions compétentes.
pendjarivoire (mercredi, 11 mai 2016 12:38)
Des centaines de bœufs se promènent sans être inquiété, dans la Réserve de Biosphère de la Pendjari. Malgré les Mémorandum d'Entente signé à Parakou le 12 février 2016, rien n'a changé jusqu'à maintenant. Les équipes de surveillance alertées ne bougent pas. La Direction du Parc National de la Pendjari reste immobile, muette.
En plus la justice travaille avec deux poids, deux mesures. Des condamnations fermes à Natitingou et Cotonou, mais des verdicts incompréhensibles à Kandi. En plus, des condamnés ont été relaxé après moins d'un tiers de leur peine en prison.
Le CENAGREF reste aussi muet sur tout les fronts... et entretmeps les éléphants soufrent, comme les riverains.
Tandis que tout allait bien jusqu'à l'arrivée de M. Blaise Ahanhanzo à la tête du Ministère de l'Environnement... et le limogeage de Djafarou.
pendjarivoire (samedi, 20 février 2016 09:22)
Des centaines d'arbres abattus sur plus de 40 km le long de la piste qui mène au Campement de Konkombri. La piste empruntée par les camions des coupeurs de bois est parfaitement visible et située à certains endroits à moins de 5 m de la piste principale. Impossible que la Direction du Parc National de la Pendjari n'est au courant, les titans ne pourront pas quitter la Réserve sans être aperçus par les riverains et les autorités locales.
Où se cache Monsieur Méryas Kouton, Directeur du Parc National de la Pendjari ? Quand est-ce qu'l va intervenir d'une manière éfficace ?
pendjarivoire (mercredi, 13 mai 2015)
Chère Madame Charlotte Okpè Okounde Djegui, Directrice Générale du Centre National de Gestion des Réserves de Faune au Benin,
Nous nous réjouissons votre lettre adressée au Président de l’Union des AVIGREF-Pendjari du 13 avril 2015. En effet, Madame la Directrice Générale, vous vous montrez acharné contre l’Union des AVIGREF-Pendjari, mal informée sans doute par ceux qui vous fournissent des éléments juridiques, croyant pouvant servir pour immobiliser l’Union-AVIGREF-Pendjari. Sachez qu’ils se trompent et en les écoutant vous vous trompez aussi. Dans le « Décret N°2001-234 du 12.07.2001 » et bien écrit que : « L’ONG contribue directement ou indirectement à l’amélioration durable, participative et consciente des conditions de vie des communautés à la base. Elle est tenue, dans ses activités d’opérer sans distinction de race, de religion, de sexe, d’ethnie et ne s’autorise aucune activité politique partisane. » Il s’agit ici bien de l’ONG qui « ne s’autorise aucune activité politique partisane ». Nulle part le Décret - N° 2001-234 du 12.07.2001 - parle des activités politiques partisanes privées des membres ou des collaborateurs de l’ONG.
Nous nous demandons si vous avez aussi écrit une lettre à ADEPTE, l’organisation qui s’occupe de la promotion touristique de l’Atacora, en général, et de la Réserve de Biosphère de la Pendjari, en particulier ? Sachant que dans cette organisation siègent les Maires de Matéri et de Tanguiéta et que leur président est membre élu de la Chambre de Commerce et de l’Industrie du Benin. Les Maires siègent d’office dans cette organisation, donc par leur mandat politique, nulle ne peut l'ignorer. Et que dire de votre propre structure, qui abrite des élus locaux au moins au niveau de la Commune de Tanguiéta. Personne n’y voyait l’inconvenance, malgré le Décret datant déjà de l’année 2001. Vos prédécesseurs ne voyaient pas l’inconvenance non plus, puis qu’ils ne cherchaient pas à détruire le système de cogestion, comme vous êtes en train de le faire.
Croyant qu’une femme nommée à la tête du CENAGREF ramènera la raison et le calme au sein de la gestion des aires protégées, nous vous ont donné le bénéfice du doute. Maintenant que les masques sont tombées, vous jouissez plus de cet avantage.
Vous vous trompez, voulant vous cacher derrière ce « Décret N°2001-234 du 12.07.2001 », qui n’a pas d’application sur l’Union des AVIGREF-Pendjari, puisque cette organisation n’a organisé aucune activité politique partisane depuis sa création, et n’en organisera jamais.
pendjarivoire (dimanche, 05 avril 2015 11:31)
(Entre parenthèses des extraits de l’article de l’Agence Béninoise de Presse)
« Suite aux informations dans la presse faisant état de braconnage massif et de massacre d’éléphants dans le parc de Pendjari, le ministre de l’Environnement, Raphael Edou, a fait le déplacement sur Natitingou et a tenu une séance de travail avec les différents acteurs en présence des autorités administratives et locales. »
Le ministre de l’Environnement, Raphael Edou, a fait le déplacement sur Natitingou et a tenu une séance de travail – la deuxième depuis deux mois - avec les différents acteurs en présence des autorités administratives et locales.
« Le ministre Raphael Edou est à la quête de la vérité. Il est venu pour comprendre ce qui se passe exactement dans la réserve de biosphère de la Pendjari. »
Si le Ministre est à la quête de la vérité et qu’il veut comprendre ce qui se passe exactement dans la Réserve de Biosphère de la Pendjari, il n’a qu’à parler avec les AVIGREF et leur Union, qui assurent depuis des années la cogestion du Parc, jusqu’à l’intervention du Ministre même… en suspendant la collaboration entre la DPNP et les AVIGREF. En suspendant le système de cogestion, primé comme modèle de gestion à appliquer dans toutes les Aires Protégées par le PNUD, avec e Prix Équateur 2014. Qu’il évalue ce qui s’est passé depuis le renvoi de l’ancien Directeur du Parc National de la Pendjari en 2011. Qu’il évalue comme ancien Ministre de la Décentralisation, le comportement du Maire de Tanguiéta et du Préfet de l’Atacora/Donga dans l’affaire de la gestion communale de la commune de Tanguiéta (depuis le 28 mars 2013). Les réponses sont là, si l’on veut écouter.
« Le préfet des départements de l’Atacora et de la Donga, Gervais N’dah Sékou, a parlé de crise grave qui a entraîné un sérieux dysfonctionnement dans la gestion du parc. »
Le préfet a oublié de se prononcer sur le rôle qu’il a joué dans cette crise, en choisissant le côté du Maire de Tanguiéta, qui est à l’origine de cette crise avec son arrêté communal arbitraire, suspendant les activités des AVIGREF et de leur Union.
« Après une synthèse, le Ministre Edou a décidé de renforcer les mesures de sécurité dans le parc et a donné des instructions pour qu’on augmente le nombre de forestiers, qu’on continue de travailler avec les éco gardes de même que les chasseurs traditionnels, en un mot qu’on associe tous les acteurs qui le désirent. »
En place de suivre les recommandations du Comité de Suivi et d’Évaluation (Mars 2013), il revient aux mesures que l’ancien Ministre de l’Environnement, M. Blaise Ahanhanzo Glélé, a voulu réintroduire en renvoyant l’ancien directeur du PNP en 2011. L’envoi de plus de forestiers n’est pas la solution. Il faut restaurer la cogestion, telle qu’elle était opérationnel jusqu’à l’intervention de l’ancien Ministre Blaise Ahanhanzo Glélé. Restaurer la cogestion avec les AVIGREF et leur Union, comme organisateur des Chasseurs Professionnels Locaux (CPL) et des auxiliaires villageois. Verser les 30% des retombées du tourisme de vision et cynégétique, et toutes les arrières dues par la DPNP/CENAGREF, afin que l’Union AVIGREF puisse organiser dans les meilleures conditions les CPL et auxiliaires.
« Le patron de l’environnement promet revenir pour faire le point de l’exécution des recommandations. »
Il y a deux mois il a fait des promesses aussi, qu’il n’a pas tenu ! Qu’est-ce qui garantit qu’il le fera cette fois-ci ?
Admin (jeudi, 26 mars 2015 13:25)
@ Pendjarinotretrésor: Veuillez bien adresser votre critique aux auteurs du site https://mrmondialisation.org/alerte-braconnage-un-parc-national-laisse-sans-surveillance-au-benin, qui ne sont pas liées aux Amis de la Pendjari et aux administrateurs de ce site. Si vous avez du critique concernant les contenus de ce site (www.pendjari.jimdo.com), n'hesitez pas de nous informer en mentionnant conrétement les textes ou images incorrects. Dans le cas d'une critique justifiée, nous allons immediatement changer les contenus correspondants.
Pendjarinotretrésor (mardi, 24 mars 2015 20:54)
Prière changer la photo qui est sur le lien https://mrmondialisation.org/alerte-braconnage-un-parc-national-laisse-sans-surveillance-au-benin/ car nous n'avons pas de rhinocéros au Bénin. Cette erreur montre bien que vos allégations ne sont que des mensonges qui visent à ternir l'image des gestionnaires de nos parcs et des autorités béninoises. Réfléchissez davantage avant de faire vos montages grossiers. félicitation au ministre de l'environnement.
pendjarivoire (mercredi, 18 mars 2015 11:39)
Le préfet de l'Atacora-Donga envoie des militaires et forestiers dans la Réserve de Biosphère de la Pendjari pour réparer les bêtises des autorités locales et nationales, tandis que la solution est très simple... restaurer la cogestion telle qu'elle était avant l'intervention opportuniste de l'ancien Ministre de l'Environnement M. Blaise Ahanhanzo Glélé en novembre 2011.
Emma (jeudi, 12 mars 2015 19:56)
Depuis plusieurs semaines, Le Parc de la Pendjari est sciemment livré aux braconniers.
Les animaux sont ostensiblement tués sous les yeux des touristes à proximité des
Installations touristiques au cœur même de la zone protégée, comme pour faire passer le message à tous que les touristes n'ont plus leur place dans le Parc.
La viande de brousse circule aux yeux et au su de tous dans une impunité totale.
L'indifférence de la Direction du Parc à cet état de fait et son immobilisme font craindre des complicités au plus haut niveau et une volonté politique de destruction du
Parc.
Une mobilisation internationale est de nouveau nécessaire pour agir au plus haut niveau et réinstaurer un état de droit dans le Parc, afin de protéger les animaux et d'assurer la sécurité des touristes.
pendjarivoire (mardi, 03 mars 2015 11:14)
Apparemment rien ne bouge autour du conflit entre les maires de Tanguiéta et de Matéri et les AVIGREF-Pendjari. Le Ministre de l'Environnement a demandé de faire un break. La collaboration entre la DPNP et les AVIGREF a été suspendue, laissant l'espace aux braconniers pour pénétrer la Réserve sans trop d'obstacles. Mais rien ne bouge pour régler la situation au niveau du Ministère de l'Environnement, qui a joué la carte du retour en arrière quand il s'agit de la gestion des aires protégées. Le travail fructueux d'années est mis dans la poubelle.
Il faut se demander, ce mari 3 mars 2015 - Journée mondiale de la Vie Sauvage - qui en profite !
pendjarivoire (vendredi, 06 février 2015 12:00)
Revendications formulées en 2012
• Instaurer la confiance entre les populations riveraines (AVIGREF) et l'Etat (MEHU/CENAGREF) d'une part et entre l'Etat et les partenaires techniques et financiers d'autre part ;
• Respecter les procédures pour le recrutement transparent du Directeur du Parc qui prend en compte des critères de performance convenus entre les agents d’Etat (CENAGREF), les populations riveraines (AVIGREF) et les partenaires techniques et financiers ;
• Poursuivre la mise en œuvre de cogestion (concertation étroite entre le CENAGREF et les AVIGREF sur les décisions à prendre ; surveillance conjointe de la réserve impliquant des agents d’Etat et des villageois; accès aux ressources; partage des recettes, etc.) ;
• Assurer le suivi indépendant de l'efficacité de la gestion de l'aire protégée.
« Rappelons le Mémorandum du 7 février 2013 entre le CENAGREF et les AVIGREF ! »
pendjarivoire (mardi, 03 février 2015 10:44)
Après lecture du message de ABP, publié sur le site 24HeuresauBenin...
L’héritage de Blaise Ahanhanzo-Glélé
Le démantèlement de la cogestion dans la Réserve de Biosphère de la Pendjari mis-en-route par l’ancien Ministre de l’Environnement, de l’Habitat et de l’Urbanisme, M. Blaise Onésiphore Ahanhanzo-Glélé, en novembre 2011, se poursuit.
La prise de position du Ministre de l’Environnement montre qu’il s’est laissé entrainer dans le jeu politicien du Maire de Tanguiéta et du Préfet des départements de l’Atacora et de la-Donga, le couple qui gère depuis plus qu’un an la Commune de Tanguiéta, après que 11 des 15 conseillers de la Commune avaient essayé de renvoyer le Maire de Tanguiéta, pour mauvaise gestion. C’est claire qui protège qui ! La faune du Biosphère de la Pendjari n’est pas servie avec cette attitude politicienne, qui met davantage de l’huile sur le feu. En même temps le Ministre de l’Environnement met en question le fonctionnement du CENAGREF, déjà affaibli par son prédécesseur depuis novembre 2011 avec des décisions controversées, créant la confusion entre la Direction des Eaux et Forêts et l’Office d’État qui est le CENAGREF.
Où est passé la coopération internationale ? Où est passé la coopération internationale qui a, pendant des dizaines d’années, construit ce modèle de cogestion, qui mondialement est apprécié comme le modèle à suivre (confirmé lors du Conseils des Ministres de l’Environnement de la Région, en conférence en Mars 2013 à Cotonou) ? Est-ce que une fois leur contribution à la Fondation des Savanes Ouest-Africaines (FSOA) reçu, elle est renvoyé se promener ?
Que les bailleurs de la FSOA prennent position et s’expriment clairement vis-à-vis le gouvernement de la République du Bénin ! Que ce gouvernement doit respecter vigoureusement ses propres lois et décrets et ses engagements par rapport à la communauté internationele.
pendjarivoire (mardi, 06 janvier 2015 11:31)
Les Maires de Matéri et de Tanguiéta (simultanément) viennent de prendre des Arrêtés Communaux suspendant toutes les activités des AVIGREF et de l'Union des AVIGREF sur toute l'étendue de leur territoire. Cela implique la suspension des activités de surveillance largement portées par les Chasseurs Professionnelles Locaux (CPL) et les Auxiliaires Villageois, appuyés et organisés par l'U-AVIGREF. La plus grande partie des équipes de surveillance sont composées majoritairement par eux. Qu'est-ce qu'ils (les Maires) veulent montrer? Qui est-ce qu'ils protègent? Qu'est-ce qu'ils attendent de condamnées ouvertement (en publics) les criminels fauniques activent dans leurs Communes?
- Fin 2011, début 2012 le Maire de Tanguiéta est intervenu au niveau de la DPNP pour éviter que la viande de brousse (d'un éléphant) soit rendue à l'Hôpital Saint Jean de Dieu... contre les règles et procédures de la DPNP et du CENAGREF
- En octobre 2013 le Maire de Matéri est intervenu dans une affaire de trafic de viande de brousse, en faveur d'une commerçante de Matéri. Le car saisi d'ATT a du être libéré quelques jours après, après une intervention du DG CENAGREF (sans suite ou poursuite après)
- Le 14.07.2014 de nouveau un car d'ATT est saisi, transportant 600 trophées de chasse... et libéré quelques jours plus tard.
- En août 2014 le Maire de Tanguiéta n'était pas amusé, quand il a entendu qu'Interpol avait arrêté des braconniers et des trafiquants d'ivoire sur son territoire, sans qu'il était averti d'avance. Quelques jours après le Chef d'Arrondissement de Tanongou a éssaié d'organiser une marche de protestation contres ces arrestations (une autorité qui organise une marche en faveur des criminels faunique).
On commence à croire qu'ils sont complices, ou bien?
Djafarou (mardi, 12 février 2013 16:38)
Chers amis,
Le lieu où l’exploitation forestière a cours est communément appelé la zone de Séri directement contigüe au PNP. Elle est donc considérée comme une zone tampon, placée sous la responsabilité du Cenagref et de la DPNP comme le stipule le decret portant création du Cenagref : « ….gérer les parcs nationaux, les zones cynégétiques et leurs zones tampon. C’est ce qui justifie le PGEI (projet financé par la coopération néerlandaise), partie intégrante du PCGPN (multibailleur), qui a appuyé le Cenagref entre 2001 et 2005.
C’est également ce qui justifie l’intervention de la surveillance DPN dans cette zone.
Au total, il y a un lien écologique très fort entre cette zone et le PNP. L’exploitation forestière qui se développe au niveau de la galerie forestière de la rivière Pendjari ne peut qu’impacter négativement à moyen et à court terme, l’intégrité de l’ensemble de la Réserve de Biosphère de la Pendjari.
Au total, le Cenagref et la DPNP doivent continuer d’assumer leur responsabilité sur cette zone et non l’abandonner à la mafia d’exploitants forestiers. L’intégrité écologique et la survie de l’ensemble de la Réserve de Biosphère de la Pendjari et de sa faune en dépendent.
KOUTON Méryas (mardi, 12 février 2013 16:03)
Merci infiniment, cher administrateur du site.
Cette discussion qui commence est très intéressante dans la mesure où elle nous permettra ensemble de comprendre certaines choses qui, soit paraissent floues, soit paraissent contradictoires dans les documents officiels sur lesquels nous fondons la gestion des ressources en général, en cas d’espèce, cette zone objet d’exploitation.
Le plan d’aménagement et de gestion de la réserve qui est bien disponible sur ce site dans la rubrique documents (http://pendjari.jimdo.com/app/download/6097475086/511a346a/c46ef994aa4101cb87a0f8207036964d6615d1b5/Pendjari+PAG+edition+2009.pdf?t=1337598225 ). Jetez un coup d’œil s’il vous plait sur les cartes de la page 4 et de la page 45 (pour ne citer que celles-là). Les cartes de la Réserve de Biosphère de la Pendjari disponible dans ce document ne s’étendent pas du tout dans la zone concernée !!!!
Mais quand on se réfère à la définition d’une zone tampon dans le contexte d’une réserve de Biosphère, une exploitation forestière abusive dans la zone est vraiment dommageable pour la faune qui connait la disparition de son habitat.
Toutefois, c’est tout à fait vrai que dans les années antérieures, l’administration du parc organisait des patrouilles dans la zone comme l’indiquerait la carte de la page 56 du même document. Ça amène à se poser des questions, n’est-ce pas ?
J’ai aussi personnellement, suite à mes entretiens avec diverses personnes, noté que la zone serait dans la réserve, mais j’attends encore que mes efforts depuis Décembre pour avoir des supports fiables portent des fruits. C’est à présent l’occasion de nous aider à connaitre les sources existantes qui mettent la zone de Séri dans la réserve, c'est-à-dire un document officiel sur les limites originales de la réserve à sa création en 1986. Je continue de faire le travail, je voudrais que vous partagiez avec nous ce qui est à votre niveau pour qu’ensemble, nous puissions mieux conserver les ressources. Une fois des bases documentées claires établies, nous pourrons organiser une concertation avec les acteurs à tous les niveaux pourra être organisée et nous vous assurons de notre détermination à faire prospérer les ressources naturelles.
Enfin, je voudrais aussi, rendre claire que l’expression zone tampon dans le sens de réserve de biosphère est une zone pour contenir les pressions et protégeant l’aire centrale, donc pourrait dans des mesures bien définies être exploitées de façon responsable certes et durable.
Chers amis de la Pendjari, merci pour vos efforts et voici un nouveau travail que nous devons abattre dans les meilleurs délais.
Agréables moments à vous tous.
Djafarou (mardi, 12 février 2013 16:01)
Chers amis,
Le lieu où l’exploitation forestière a cours est communément appelé la zone de Séri directement contigüe au PNP. Elle est donc considérée comme une zone tampon, placée sous la responsabilité du Cenagref et de la DPNP comme le stipule le decret portant création du Cenagref : « ….gérer les parcs nationaux, les zones cynégétiques et leurs zones tampon. C’est ce qui justifie le PGEI (projet financé par la coopération néerlandaise), partie intégrante du PCGPN (multibailleur), qui a appuyé le Cenagref entre 2001 et 2005.
C’est également ce qui justifie l’intervention de la surveillance DPN dans cette zone.
Au total, il y a un lien écologique très fort entre cette zone et le PNP. L’exploitation forestière qui se développe au niveau de la galerie forestière de la rivière Pendjari ne peut qu’impacter négativement à moyen et à court terme, l’intégrité de l’ensemble de la Réserve de Biosphère de la Pendjari.
Au total, le Cenagref et la DPNP doivent continuer d’assumer leur responsabilité sur cette zone et non l’abandonner à la mafia d’exploitants forestiers. L’intégrité écologique et la survie de l’ensemble de la Réserve de Biosphère de la Pendjari et de sa faune en dépendent.
Admin (mardi, 12 février 2013 11:34)
Cher M. Kouton,
merci pour votre commentaire. Nous sommes très contents de votre offre de coopération. Nous considérons ce site une plateforme d'information qui a pour but entre autres de faciliter le dialogue. En tant qu'administrateurs basés en Allemagne, nous sommes dépendants des informations que nous recevons du Bénin. Comme les erreurs ne sont jamais exclus, nous invitons tous nos lecteurs de nous faire parvenir des amendements.
Par rapport à l'exploitation du bois, il y a déjà le commentaire no. 31 qui aide à clarifier la situation. Nous avons compris, que l'exploitation illégale se fait dans les zones tampon qui ne font pas partie du Parc National, mais qui sont néanmoins une partie intégrale de la Réserve de Biosphère de la Pendjari. Nous avons corrigé cette erreur. En cas d'autres amendements, n'hésitez pas de nous contacter. Nous vous souhaitons beaucoup de courage pour la poursuite de la cogestion de la réserve.
Kwizera (mardi, 12 février 2013 00:12)
La vérité est que l’exploitation illicite de bois dans la lisière de la Pendjari est effectué dans une zone tampon (qui protège les aires centrales) et qui appartient bien au Biosphère de la Pendjari, mais n’appartient pas au Parc de la Pendjari proprement dit. Cette zone est très giboyeuse et on y trouve beaucoups d’animaux, comme des hippotragues et des éléphants. C’est comme une ceinture verte autour de la Réserve (comme prévue dans le P.A.P.E.). Le service de la surveillance organise régulièrement des patrouilles dans cette zone, sur ordre (je crois bien) du directeur du PNP.
Strictement Monsieur Kouton a raison, dans la zone du Parc de la Pendjari nous n’avons pas encore constaté la coupe illégale de bois, mais dans l’esprit de la protection de la faune il faut considerer cette zone tampon comme partie intégrale de la Biosphère de la Pendjari.
KOUTON Méryas (samedi, 09 février 2013 19:12)
Salut tous
je me présente: moi c'est KOUTON Méryas, Directeur du Parc National de la Pendjari.
Je me sens interpelé par rapport à certains faits relaté sur le site des Amis de la pendjari, notemment le dossier de d'exploitation de bois dans le parc.
Mais avant d'y revenir, je voudrais bien dire qu'il serait bien commode que le Directeur de la Pendjari connaisse et les Amis de la Pendjari pour qu'ensemble nous puissions faire de ce beau parc une attraction toujours plus forte, un modèle de conservation des ressources naturelles. je suis ouvert à toute discussion et clarification si certains le veulent, même en MP au meryas.kouton@pendjari.net ou merkod1@yahoo.fr
Je reviens à présent sur le problème d'exploitation de bois.
Chers amis, j'ai été le chef de délégation pour la mission conjointe dont il est question, et par conséquent, je pense que j'ai les informations précises (certes, pas moi seul!!!) sur ce dossier.
Alors, je viens faire les précisions suivantes et je demeure prêt et ouvert aux discussions
1- A la date d'aujourd'hui il n'y a aucune trace d'exploitation forestière dans le Parc National de la Pendjari dont je suis le Directeur.
2- Il ne peut ya avoir, avec les moyens d'exploitation forestière que nous avons au Bénin actuellement, aucune forme d'exploitation de bois dans le Parc. en effet, le parc dispose de limite naturelle infranchissable ou presque pour cette activité. la limite sud du par est la chaine de l'Atakora qui n'offre aucun passage de débardage, ni de traversée de camion. La seule entrée possible est accessible pour piéton, et je ne vois pas encore, quelque soit sont niveau en alpinisme quelqu'un franchir cette montagne avec un madrier sur la tête, encore moins une bille .... Le la deuxième limite du parc est la rivière Pendjari et on ne peut concevoir la sortie de bois par là avec les moyens utilisés par les exploitants forestiers béninois.
Certes, dans la zone, nous avons noté une forme d'exploitation, dans les communes de Toucountouna et de Kouandé, mais pas dans le Parc National de la Pendjari.
Cette intervention n'a aucun sens d'encourager même des coupes dans les zones libres, bien au contraires, nous déplorons l'exploitation du bois et son ampleur actuelle au Bénin et ne manquons d'aucune occasion pour ramener l'opinion sur le danger de l'activité, le bénin étant un pays à faible potentiel forestier. Couper le bois, c'est détruire l'habitat de la faune et nous saisissons aussi le canal de ce site pour demander un minimum d'effort de conservation à tous les acteurs pour que prospères les ressources naturelles au Bénin.
Alors chers amis de la pendjari, ne nous faisons pas plus mal, respirons du bien pour notre parc et que prospère la faune du parc au grand bonheur des riverains.
bubale (jeudi, 04 octobre 2012 09:00)
Quelle mascarade !...
Tous les efforts menés par les défenseurs du Parc auraient-ils été vains ?
Sous la pression de l’opinion publique, des populations riveraines, des bailleurs de fonds, le MEHU s’est décidé à organiser le recrutement d’un directeur pour remplacer l’intérimaire dont la compétence est mise en cause par de nombreux observateurs.
Or le recrutement des candidats a été biaisé de manière à favoriser l’actuel intérimaire et à écarter de la section des candidats de valeur.
Des semaines se sont écoulées pour publier enfin les résultats le 26 septembre…témoignant d’un certain embarras.
Cette publication est grotesque : on nous fait croire que le Directeur a changé mais l’intérimaire est nommé suppléant. Autrement dit à la moindre défection de Monsieur Koutou, Mr Adjibi sera le directeur incontesté, permanent et définitif.
L’arrogance et le mépris des autorités du CENAGREF ne s’arrêtent pas là : même le tableau des notes est truqué : le total des notes d’Adjibi est faux ! Il obtient 50 points et non 55 et se trouve en 4ème position et non en 3ème.
Les recruteurs reconnaissent eux-mêmes que l’approche de l’actuel suppléant concernant la cogestion pourrait constituer un handicap à l’objectif de conservation du parc.
Cette manière d’agir ne peut que dissimuler des intentions malveillantes vis-à-vis de la pérennité du Parc et il faut espérer que ces informations seront largement diffusées auprès des bailleurs de fonds.
Les vrais démocrates ne se laisseront pas leurrés par ces manœuvres grossières et les vrais défenseurs du Parc doivent continuer à se battre.
UKHAL (mardi, 24 juillet 2012 21:11)
A quoi bon des résultats si déjà les critères de recrutement sont truqués. Le Mininstre n'a pas voulu modifier une seule virgule dans l'appel à candidature pour éliminer d'office des personnes capables mais ne répondant pas à des détails bien choisi. On n'a retenu que des cndidats agents publics de l'état et de profession forestiers d'un certain age et de profils bien étudiés pour ne coller qu'à deux personnes...l'interimaire et un autre. A vous de juger si c'est comme ça qu'on trouve le meilleur pour le poste ou plutôt celui qui convient le plus au Mininstre. Ou est le conseil d'administration dans tous ça? Je suppose qu'il va enteriner le résultat comme il n'a rien dit sur la procédure. Et voila, le CENAGREF est devenu un service technique des eaux et forêts régi par des forestiers toujours en service aux E&F.
U N OWEN (lundi, 23 juillet 2012 12:41)
Je pense que la création du site "les amis de la pendjari" est une excellente initiative; personnellement, je désespérais que rien ne soit fait! Il serait cependant intéressant de mener une enquête sur le terrain pour connaitre ce que les populations disent des différents acteurs intervenant dans le parc. . Je ne comprends pas ceux qui persistent à affirmer qu'il n'y a pas de problèmes. Des boeufs détournés par les gardes, le braconnage exacerbé, les résultats du recrutement qui tardent à sortir... et tout va bien ainsi! Chers amis de la pendjari, tenez bon, car, beaucoup de sans voix vous en seraient reconnaissants.
Isidore (samedi, 21 juillet 2012 11:18)
Instituteur originaire de Sangou
Je commence à me raviser de la position des AVIGREF, dans cette crise. Je pense qu’elles jouent le rôle de veille. Ce qui est très important pour éviter que le Ministre et sa suite prennent d’assaut les maigres ressources du Parc National de la Pendjari. Les forestiers agents permanents de l’Etat, après avoir transformer toutes nos forêts classées en Toyota RAV4 et Honda CRV, c’est au tour de nos éléphants d’être transformés maintenant en limousines. Sinon, c’est impensable que deux semaines après le test de recrutement des Directeurs des Parcs, que les résultats ne soient pas encore disponibles. A quoi jouent le Ministre et son DG CENAGREF ? Ce silence dans la proclamation des résultats vient une fois confirmer l’inquiétude des AVIGREF qui prévenaient déjà que ce test taillé sur mesure s’organisait dans l’intention de confirmer les intérimaires.
Excellence monsieur le Ministre, pour une fois au moins montrer à l’opinion internationale, votre bonne fois pour la sortie de crise en proclamant les vrais résultats. Les populations riveraines et la faune de la pendjari, vous en seront gré. Elles ont trop souffert de cette crise qui risque de perdurer si vos intensions étaient de confirmer ces intérimaires qui ont montré leurs limites dans la gestion des Aires Protégées.
Ceci est un cri de cœur à l’endroit des autorités, pour que la pendjari soit une fois pour toute sauvée.
Admin (mercredi, 18 juillet 2012 07:40)
Bonjour Monsieur Isidore,
merci pour votre commentaire. L'objectif de cette initiative et de ce site web est tout d'abord la conservation du patrimoine unique de la Pendjari qui de notre avis n'est possible qu'avec une vraie implication des populations riveraines. Malheureusement, pendant les derniers mois nous avons dû observer que ceci ne soit plus le cas. Le limogeage des directeurs des Parc Nationaux de la Pendjari et de W sans aucune raison fondée n'a été que le début d'une destruction insidieuse et inquiétante de la cogestion. Les informations citées dans l'historique de ce site web sur le braconnage, la transhumance et l'ivoire provenant du Nord du Bénin en vente libre à Cotonou depuis quelques semaines ne nous convainc pas que tout soit en bonne ordre.
Etant des amis de la Pendjari, nous nous sommes sentis obligé de réagir en faisant part des événements à un public plus grande pour faire pression sur les autorités responsables d'agir. Si les partenaires internationales menacent de retirer les subventions, ils ne le feront pas à cause de leur "esprits sensibles" ou parce qu'ils "réfléchissent par leur cœur". Si une telle décision soit prise, ce serait dû au non-respect des textes en vigueur et convenues entre les différents parties prenantes par certaines autorités béninoises.
Par rapport aux éco-gardes enlisés dans le Parc, leur nombre a déjà été corrigé (voir commentaire n°19)et l'information elle-même a été confirmé par des sources fiables. Si vous trouvez d'autres informations incorrectes sur le site, n'hésitez pas de nous faire parvenir vos remarques par Email à amis-pendjari@gmx.net. Merci.
Nous soutenons entièrement votre proposition de mettre en place une commission d'enquête comme elle a déjà été proposé par l'UICN. L'essentiel sera qu'elle soit indépendante - ce qui implique qu'elle ne pourra pas être menée par une des parties prenantes: ni par le Ministre, ni par le CENAGREF, ni par les AVIGREF.
Emma (mardi, 17 juillet 2012 20:12)
Bonjour Isidore,
Faut-il attendre 2 ans pour évaluer un directeur INTERIMAIRE nommé arbitrairement , ou en nommer un légalement avec des procédures de recrutement basées sur la compétence ?...
Isidore (lundi, 16 juillet 2012 16:40)
Bonjour à tous,
Je suis instituteur originaire de SANGOU. Je crois que les premiers amis de la pendjari sont d’abord les populations riveraines et les opérateurs économiques qui développent leurs affaires autour du parc. Je me demande à qui profite vraiment tous cette communication sur la Pendjari. Certainement aux « amis de la Pendjari » mais pas du tout aux milliers de populations riveraines. Je demande donc à tous les supposés « amis de la pendjari » d’arrêter le massacre. J’apprends dire que la coopération allemande menace de se retirer du financement du parc après que certains de ces citoyens avec la complicité de quelques béninois guidés par leur propre intérêts aient créé et animé ce site web pour manipuler les esprits sensibles et ceux qui réfléchissent par leur cœur.
Pour les faits il y a beaucoup de contre vérité. A propos du braconnage et la transhumance, tout le monde sait que ces phénomènes durent déjà depuis plus de cinq ans. Il faut voir les efforts fait par le nouveau directeur pour décourager ces fléaux. Depuis son arrivé les arrestations de braconniers et de transhumants ont augmenté et beaucoup d’autre sont mis en déroute. C’est la première fois que des transhumants arrêtés dans le parc ont payé une amande de3000000.
On affirme que 14 écogardes se sont enlisés dans le parc. Mais en réalité, il s’agit des chercheurs privés qui comptaient les animaux. Mais aussitôt le directeur informé, il a dépêché un véhicule les faire sortir.
J’ai suivi récemment à la télé un reportage après le passage de journalistes à la Pendjari. Ils sont sortis satisfaits pour avoir observé presque tous les animaux. Aussi tous ceux ont visités le parc récemment ont observé même les guépards qui sont des animaux très rares.
Par rapport aux indicateurs chiffrés, je n’en sais rien pour le moment mais dans les prochains jours je vais me rapprocher des autorités du parc pour avoir des informations précises sur l’évolution des indicateurs. J’invite aussi tous les vrais amis de la pendjari à faire autant.
Le seul réelle problème, qui en réalité n’en est pas un, est celui relatif à façon dont l’ancien directeur a été remplacé (après 13 ans de service à la tête d’une même institution de l’Etat) et qui est à l’origine des conflits entre les AVIGREF et le Ministère. Mais je crois que ce conflit est entrain de trouver une bonne issu après la concertation initié le 04 juin par Prof SINSIN, Recteur de l’UAC.
Je souhaite surtout demander aux « amis de la Pendjari » de laisser le directeur travailler et il pourra être évalué au bout de deux ans. Tous ceux qui ont déjà dirigé savent qu’il est extrêmement difficile de gérer dans un environnement comme celui-ci. Laissons les jeunes faire leur preuve.
Je vais pour finir demander aux autorités béninoises de mettre en place une commission d’enquête pour faire la lumière sur ce qui se passe réellement.
OROU DOGO Gnanki de Banikoara (Rép du Bénin) (samedi, 14 juillet 2012 19:45)
L'initiative des amis de la Pendjari est louable. Elle pourra permettre de sauver les parcs nationaux du Bénin en danger. AHANHANZO GLELE Onésiphore Blaise n’a aucun souci de préserver la nature. Il est sur le point de faire disparaitre les parcs nationaux. Le CENAGREF, Centre National de Gestion des Réserves de Faune est un office d’Etat à caractère social et scientifique doté d’une autonomie financière et administrative. Les deux directeurs recrutés sur test ont été abusivement relevés de leur fonction par le MEHU sans aucune preuve de fautes administratives. Le Colonel YEHOUENOU TESSI Jean, ex DG/CENAGREF avait vu le danger plané raison pour laquelle il avait refusé d’entériner la note de service mais malheureusement il a été relevé par le Ministre de ses fonctions.
AHANHANZO GLELE Onésiphore Blaise a violé les textes de la République du Bénin. Au Parc National W, c'est le pire que la Pendjari. Le parc est pris d'assaut par les agriculteurs de l'arrondissement de Founougo dans la Commune de Banikoara. De vastes étendues sont défrichées pour l'agriculture et sous la complicité du ministre de l’agriculture, SABAÏ Katè. Vous êtes invité à aller constater la réalité sur le terrain dans l’arrondissement de Founougo, (exemples : populations des villages de Kandèrou, Darè, Finfingou, poumon etc, sont actuellement dans le parc), lieu d’origine du ministre SABÏ Katè. Vous pourrez aussi voir les dégâts par photos satellitaires. Les scieurs en complicité avec les autorités en charge de la conservation exploitent le bois d'œuvre dans le Parc. Les éleveurs discutent le pâturage avec les animaux sauvages. Le braconnage s’intensifie avec la forte complicité de certains agents. Dans le rang du personnel, tout le monde est patron. Les éléphants inquiétés, sortent du Parc et rentrent dans les villages riverains (un peulh a été tué par un éléphant en mai 2012 dans le quartier Baobab à Kandi). Les deux directeurs nommés illégalement par le ministre AHANHANZO GLELE Onésiphore Blaise ne sont pas à la hauteur de la tâche. Ca ne va pas. Dr BONI YAYI, votre ministre n'est pas à la hauteur de la tâche que vous lui avez confiez. Il a suffisamment indisposé les PTF. C'est grave pour le Bénin. Prenez vos responsabilités en réunissant tous les acteurs (les partenaires au développement, les partenaires locaux, les cadres du secteur voire les directeurs abusivement mutés) et votre ministre en charge de l’environnement. Ainsi, vous verrez clair dans la situation, ce qui vous permettra de prendre des décisions pour sauver la flore et la faune Béninoise.
OROU DOGO Gnanki de Banikoara (Rép du Bénin)
ABALO (vendredi, 13 juillet 2012 09:42)
Bonjour à tous,
Les passions se déchaînent, c'est tant mieux pour le débat. Il aura fallu que des "non Béninois" prennent l'initiative de mettre en place un blog pour défendre la Pendjari pour que certains Béninois retrouvent subitement leur patriotisme. C'est très curieux. Un ami de la Pendjari a parlé d'indicateurs. Je voudrais qu'on parle effectivement d'indicateurs. Pourquoi s'en prendre à la personne de l'ancien directeur ou celle du nouveau ?. Affichons les chiffres et les indicateurs, saison après saison, pour attester de la pertinence ou de l'opportunité du renouvellement d'un directeur de parc. Je n'ai pas les chiffres exacts, mais je sais que pour l'année 1999 les recettes cumulées (chasse et tourisme de vision) étaient autour de 35 millions. Elles sont passées à 70 millions l'année suivante, à 80 millions l'année d'après, etc. Les recettes n'ont cessé d'augmenter d'année en année pour atteindre les 180 000 000 pour la saison passée, je crois. Encore une fois, mes ex-collègues encore en activité à la dpnp peuvent nous préciser ces chiffres. Que reproche t-on alors à l'ancien directeur ?
Que les éco-garde s'en souviennent bien : le statut de garde-faune puis celui d'éco-garde a été acquis de haute lutte. Serions-nous devenus amnésiques ? Je n'ose pas le penser.
On parle d'intérêts égoïstes de x ou de y, mais retenons bien ceci : quand il n'y aura pas d'animaux dans la Pendjari, quand nos parents (populations riveraines) vont se révolter, bref quand la situation sera plus critique, alors chacun comprendra de quoi on parle, mais ce sera trop tard !
Nous sommes suffisamment adultes désormais pour échanger en toute objectivité, dans un contexte où les changements climatiques, la rareté des ressources naturelles et les défis environnementaux n'autorisent plus personne à penser seulement à son "ventre" mais plutôt à l'avenir de l'humanité toute entière. C'est bien de cela qu'il s'agit. Il ne s'agit ni d'autorité politique ni d'autorité administrative... Elles ne sont pas éternelles, et la roue tourne.
Tâchons de penser globalement, à l'avenir simplement.
Bubale (jeudi, 12 juillet 2012 21:53)
Je pense qu’il ne faut interdire à personne de s’exprimer sur ce blog.
L’intérêt de tous est la survie de la Pendjari actuellement menacée :
L’ivoire en vente libre à Cotonou en est un des signes, d’une gravité extrême. Ceci est un fait récent qui ne s’était jamais produit auparavant.
Regardez la porte d’entrée du Parc, elle est à l’image de ce que le Parc est en train de devenir : délabrée et laissée à l’abandon…
L’éco-garde de la Pendjari ou Monsieur Parfait peuvent ils expliquer en quoi le précédent directeur a pu être accusé d’exploitation forestière illégale, de braconnage, de la transhumance et de mauvaise gestion ? En tant qu’acteurs en ont-ils été les témoins ? Peuvent-ils citer des faits précis ?
Il n’y aura pas besoin que les bailleurs de fonds suppriment les financements : si le trafic d’ivoire et le braconnage se poursuivent, il n’y aura plus d’animaux dans le Parc, plus de tourisme, plus de chasse dans les zones cynégétiques et le Parc de la Pendjari deviendra comme les autres réserves d’Afrique de l’Ouest (Togo, Côte d’Ivoire) : des réserves vidées de leur faune et les populations riveraines seront appauvries ne bénéficiant plus des revenus du Parc.
Pensez bien à tout cela, il y va de l’avenir du Pärc.
Admin (jeudi, 12 juillet 2012 18:28)
Bonjour Monsieur Bio, merci beaucoup pour votre contribution et lecture attentive qui a pu détecter un erreur sur le site. En tant qu'administrateurs du site, nous avons tout à l'heure révisé les sources d'informations afin de vérifier la véracité de l'évènement mentionné. En fait, il s'agissait de 5 éco-gardes qui ont été enlisés dans le Parc le 15 mai dernier, non 14. Nous avons déjà corrigé le chiffre dans l'historique et vous remercions pour votre remarque. Nous profitons de l'occasion pour inviter tous les visiteurs de ce site encore une fois à amender les informations mis en ligne sur le site.
Par rapport à votre préoccupation pour le Parc W et d'autres aires protégées au Bénin, nous ne pouvons que vous encourager de lancer des initiatives pareilles dès que vous constatez le besoin. Nos capacités actuelles sont trop limités pour agrandir la campagne sur d'autres espaces de faune au Bénin.
Ir BIO (jeudi, 12 juillet 2012 12:30)
Bonjour ou bonsoir chers amis de la Pendjari
J’ai été intéressé par le débat qui se fait depuis un certain temps sur ce site. Et j’aimerais bien y prendre part. Pour commencer j’aimerais humblement demander aux participants d’éviter de faire un débat passionné. J’aimerais bien croire à la sincérité de cette amitié avec la Pendjari.je suis d’abord attristé de constater avec amertume qu’il y a beaucoup plus d’amis Allemands que de Béninois.est –ce à dire que les Béninois n’aiment pas la Pendjari ? Et surtout que les intervenants nous parlent de ce qu’ils savent réellement. J’ai été stagiaire dans la DPNP au cours de la période incriminée. En effet je suis un jeune ingénieur de conception des eaux et Forêts, et vous comprenez tout mon intérêt à participer à ce débat. J’ai lu des choses extrêmement choquantes sur l’historique du site, je me dis si ces choses s’avéraient vraies c’est grave pour notre pays. Mais voyons les choses de plus prêt. On dit que 14 gardes faunes ont été enlisés dans le parc le 15 mai dernier, alors que d’après ce que je sais, il n’y a que 17 éco-gardes au total pour 5 équipes de patrouilles. J’aimerais savoir comment c’est possible qu’ils se retrouvent à ce nombre dans la brousse ? Je demande à l’administrateur du site de vérifier ces sources d’info.je ne dirai pas plus sur la véracité des infos qui se trouvent sur ce site. Mais à présent ce qui me tient à cœur est ceci: la Pendjari est le seul parc au Bénin ?sinon pourquoi ne devrons-nous pas penser à l’état de nos parcs et ainsi devenir amis de la faune du Bénin ?Ou bien, que le W se porte mieux que la Pendjari ?Pour ma part je pense que non .Pour ne pas prendre position sur cette question de l’intérim de direction, je pense quand même que c’est dans les même conditions que cela s’est passé au DPNW .c’est peut être déplorable mais pas impossible dans le contexte Béninois. Si quelqu’un ai pu resté dans une direction 13 ans durant, qu’est ce qui vous étonne aujourd’hui (on se comprend non) . J’aimerais bien ne pas croire qu’il s’agit d’un acharnement si celui de la Pendjari nous préoccupe tant.une fois encore je demande que l’on dépassionne le débat et qu’on pense à la gestion durable de nos ressources naturelles dans son entièreté ;Et demander humblement aux participants béninois un peu de retenu car le monde nous regarde.
KOUGNATI (jeudi, 12 juillet 2012 10:45)
Je tiens à dire à l'Eco-garde de ne pas se masturber surtout quand on ne comprend pas grand-chose. En plus les attaques pouvant crées des réactions.Pour ma part ce n'est pas la personne d'un quelconque Directeur mais plutôt la réalités des faits.Faisons une analyse objective; posons nous-nous de questions pour comprendre pourquoi des réactions de ce genres se lisent sur les médias? Pensez-vous que tout est mensonge? Je vais demander à l'Eco-garde s'il est courageux de se démasquer comme moi.
Merci.
Admin (jeudi, 12 juillet 2012 10:01)
Chers participants de cette discussion, veuillez respecter les règles d'un débat et éviter des attaques personnelles. En tant qu'adultes informés, nous devrons être capable d'exprimer nos avis différents sur la base des arguments. Si quelqu'un pense qu'il y ait des "mensonges" sur ce site, merci de bien vouloir précisément indiquer l'information fausse et aider a la corriger en fournissant des faits et preuves.
Vu quelques commentaires sur ce site qui ne respectent pas les règles d'un débat paisible, nous sommes obligés de changer le mode de ce forum: Désormais, tous les commentaires envoyés vers ce site seront validés avant qu'elle ne soient affichés au public. Des commentaires comportant des attaques personnelles, des injures ou d'autres commentaires non appropriés à un débat constructif ne seront pas validés. Merci pour votre compréhension.
Kiansi (jeudi, 12 juillet 2012 09:07)
Bonjour
La situation est d'autant plus préocupante qu'il est important que les amis de la Pendjari décline leurs identitées. A la Pendjari, il y a beaucoup d'éco-garde, il y a aussi beaucoup de sambiéni un peu partout et bien de monde à Tanongou. Si vous ne voulez pas entretenir le faux et rendre la situation confuse, déclinez vos identitées réelles. C'est lorsqu'on veut entretenir du faux et la mafia qu'on se cache sous un psodo pour mentir sur le compte du gouvernement. Prenez l'exemple de ceux qui ont leur photo en bas et aussi de Parfait. Si vous êtes amis vraiment, plaidez auprès du gouvernement pour que le financement continu et ceux, au profit de nos paisibles populations et non pour ceux qui amassent de la fortune sur le dos de la population.
UKHAL (mercredi, 11 juillet 2012 20:29)
Chers agents de la Pendjari, arrêtez de croire qu'il s'agit d'une croisière personnelle. La Pendjari n'est plus gérée d'une manière participative et c'est ça le problème. Qui lutte encore pour donner pour donner de blazon à la Pendjari? Qui proteste contre l'enterrement du dossier du patrimoine mondial? Votre nouveau Directeur? Il connais quoi dans la gestion d'une aire protégée? Quelle sont ses références? Vous ne comprenez pas que les partenaires savent bien que ce qui se passe n'est pas durable? Dites plutot à votre directeur de revenir aux pratiques de transparence dans la prise des décisions. Mettez en ligne l'évaluation des indicateurs de votre performance pour convaincre mais ne cédez pas à la polémique.
Eco-garde de la Pendjari (mercredi, 11 juillet 2012 20:01)
Meme si le nouveau Directeur partait personne de votre groupe, que je
qualifie de bandit ne prendra sa place. Apprenez donc à dire la vérités
surtout quand on est en face du monde.Et ce monde vous prend responsable dede vos actes.On vous connais un à un. Un jour viendra que vous serez démasqué.Votre
fétiche de DJAFAROU ne reviendra jamais à la Pendjari. Allez proclammer la bonne nouvelle à vos collegues adeptes.
Eco-garde de la Pendjari (mercredi, 11 juillet 2012 19:24)
Vous etes plutot des bandits que des amis de la Pendjari pour cause vous ne ne dites que du mensonge, des calomnies.Il n'y a eu aucun enlisement dans le Parc le 15 Mai dernier. Pour quoi etes vous à la trousse du nouveau Directeur.
Vous etes à la limite jaloux.
LUCCA (mercredi, 11 juillet 2012 10:35)
Je pense bien que le monsieur Parfait ne comprend pas bien le principe de la cogestion puisque selon lui, la cogestion se résume seulement aux 30% des recettes reversées aux populations riveraines. Je lui recommande de se documenter à nouveau avec les sources indiquées afin de rendre les échanges plus constructives et profitables pour la gestion durable de la réserve de Biosphère de la Pendjari, puisque c’est de cela qu’il s’agit en ce moment. En attendant que vous alliez mieux vous documenter monsieur Parfait, j'éclaire un peu votre lanterne en vous apprenant que la cogestion authentique signifie aussi que toutes les décisions concernant la gestion de la réserve doivent être concertées avec les populations riveraines. C’est là même l’une des bases importantes quand on parle de durabilité. Je constate avec désolation que vous dites être personnel de ce Parc et vous ne vous rappelez pas, de l'historique des différents événements survenus depuis le 11 Novembre 2011. Consultez-les, dans la rubrique Historique du site pour mieux vous élucider. Si dans le passé, certains signataires comme vous savez si bien le dire, n’avaient pas pu suspendre la pêche, c'est qu’au-delà de tout, ils portent en eux la bonne connaissance et le respect d’une cogestion effective. Les représentants de la population riveraine certainement le leur avaient empêchaient en son temps par la voix du consensus et non de la dérive autoritaire comme c’est le cas actuellement. Donc, aujourd’hui, il est normal que ces populations par le biais de leur association réagissent contre cette dérive de l’autorité qui pense faire preuve de bravoure en défiant les populations riveraines d’un patrimoine à protéger.
Votre réaction est remplie de partialité et ne mérité donc pas une analyse sérieuse surtout que monsieur Sambiéni, dans son commentaire déclare que vous êtes impliqués dans des cas de malversations restés impunis par ce système. Vous parlez aussi d'un groupe de Guépards rencontrés par des touristes en visite dans la réserve le 4 Juillet 2012. Est-ce que cela justifie le bon état de santé de la réserve dans son ensemble et augure des perspectives pour sa gestion durable ? En votre qualité d’agent travaillant dans la réserve, vous devez aussi savoir qu’il ne suffit pas de voir des animaux dans une réserve pour conclure que tout va bien. Il y a des indicateurs pour suivre la « santé » d’une réserve et je vous défie de prouver le contraire que ces indicateurs s’améliorent si on se réfère par exemple au dossier de transhumance dans la réserve. Bravo néanmoins à ces touristes qui ont pu voir le guépard qui est l’emblème de la réserve. Je veux considérer cette vision des guépards comme un geste fort de sortie de l’ombre afin que les autorités reviennent à l’ordre légal des choses. Je constate aussi que vous avez des carences à relever pour discuter des sujets aussi profonds comme la menace aujourd'hui qui plane sur la Pendjari si rien n’est fait. Je pense que cette pétition demande seulement le retour à l'ordre légal.
Néanmoins, je comprends votre désarroi parce que vous craignez le retrait des PTF qui constituent la seule possibilité de financement durable de la Pendjari. Leur retrait mettra donc en dangers vos emplois respectifs. Jouez donc votre partition comme les populations pour empêcher que cela n’arrive puisque c’est à votre porte.
Sambiéni (mardi, 10 juillet 2012)
Vous êtes minable Mr Nsera Parfait! Rien d'étonnant votre soutien aux dérives du Ministre qui vous permettent désormais d'excller dans vos actes de malversations. Rien d'étonnant votre soutien également au directeur par intérim qui a toujours couvert vos détournements de poissons saisis auprès de pêcheurs clandestins ou encore de viande de boeuf transhuman abattu dans le Parc. Vous pensez qu'avec ce hold up du Ministre, vous allez continuer impunément de facturer la direction du Parc à 90 000 francs la location d'une moto pour le suivi écologique contre la moitié reversée aux propriétaires? Non, vous vous tromper car les Avigrefs vous suivent de très près. Tous les corrompus se dénonceront d'eux-mêmes et seront traités à la hauteur de leurs forfaitures.
N'SERA Midama Parfait (mardi, 10 juillet 2012 13:51)
Bonjour chers Internautes
Je suis un agent du personnel de la Direction du Parc National de la Pendjari. Je pense bien que ce que je vous direz est crédible.
En effet, tout ce qui cours sur la Pendjari n'est que de l'intoxication. Ne vous allarmez guère. Nous demandons aux bailleurs de faire confiance au personnel qui après le départ de l'ancien Directeur a redoublé d'effort dans le travail. Les résultats en sont la preuve inéluctable. La co-cogestion se porte bien étant donné que depuis le changement des Directeurs des Parcs, aucun des intérêts n'est refusé aux populations riveraines. Les 30% sont normalement donnés au riverains. Pour ce qui est de la pêche, beaucoup de signataires de cette pétition ont tenté de la suspendre mais n'ont pas pu en son temps. Je pense que l'acte du Ministre devrait être salué plutôt que d'être décrié. Je demande au amis de la Pendjari, de ne pas avoir d'autres intentions. Le personnel dont les emplois sont ménacés a travers la suspension des financement les tiendrons responsables. Je demande au Gouvernement d'écouter le Personnel en temps util pour faire la lumière sur certains faits qui sont de nature à ternir l'image de la Pendjari.
Comme pour dire Halte à l'intoxication, les guépards fonds aujourd'hui des fora dans le Parc. La preuve est que les touristes de la journée du 04 juillet 2012 en sont témoin.
Cordiale salutation à vous
UKHAL (jeudi, 28 juin 2012 16:35)
Je suis désolé pour Tanoungou commentaire #3 car nul part n'est stipulé un renouvelement du poste tous les deux ans (donnez nous la source). Ce serait d'ailleur une faute car la qualité du travail dans la conservation repose aussi sur la continuité des personnes en charge. Un Directeur qui fait deux ans est un mercennaire. Par contre, il y a des statuts de CENAGREF qui stipulent les procédures de recrutement d'un Directeur. Je me pose la question, si la démocratie est comprise au Bénin. Un office est justement créé pour ne pas être mené par le ministre mais par un Conseil d'Administration. Ou est celui du CENAGREF. On le savait quil n'existe que de nom mais voici la preuve. Les accords des projets stipulent clairement, comment procéder, avec les partenaires, pour désigner le personnel dirigeant. Rien de cela n'a jamais été respecté. Si les partenaires ont laissé faie c'est à cuase du souci de la nature mais il serait difficile de mobiliser encore d'autres partenaires si on bafoue les textes légales, les reglementations internes et les contrats. Qui va prendre encore le MEHU au sérieux?
Morelle Seat (mercredi, 27 juin 2012 10:15)
La distraction a assez durée; halte au massacre de la Pendjari!
Les succès en matière de conservation atteints par la pendjari dans la sous-région ne sont plus à démontrer. Ces résultat sont à l'actif du dynamisme de l'ancien Directeur du Parc Pendjari et sa franche collaboration avec les populations riveraines. Malheureusement, au Bénin le travail bien fait, n'est jamais récompensé. Ce Directeur contre toute attente a été limogé en Novembre 2011.
Brice SINSIN et tout le conseil scientifique doit aider le Ministre de l'Environnement à retirer de la Pendjari, ce directeur par intérim qui navigue à vue, juste pour ses propres intérêts et non la gestion durable de cette aire protégée.
SINSIN Brice, sauvez la Pendjari. Vous avez œuvré pour l'atteinte de ces succès; ne laissez pas les politiciens les gaspiller. Tout le monde entier vous serait reconnaissant.
Godwen Dial (mardi, 26 juin 2012 18:16)
Il n'existe plus aujourd'hui une véritable ambiance de travail à la Pendjari. Le personnel est assez divisé; et aucune collaboration entre le Directeur par intérim du Parc et la Population. Actuellement la pendjari est gérée par le MEHU. Le niveau atteint par ce conflit, est assez poussé; qu'une simple médiation ne saurait ramener la confiance entre ces différents acteurs. L'actuel directeur par intérim ne cesse chaque jour, d'envenimer la situation par ses actes et ses écrits confidentiels qui finissent toujours par être démasqués.
Pour sauver la Pendjari, les autorités scientifiques et politiques devraient aider le MEHU à retirer purement et simplement ce directeur par intérim, qui constitue l'épicentre de la crise. Son retour à la Pendjari ne fera qu'aggraver la situation.
KPONOUGLO (mardi, 26 juin 2012 10:14)
Merci pour les initiateurs. Ce qui se passe dans la gestion des parcs est extrêmement grave. Le gouvernement béninois doit cesser de tout détruire sur son passage. La nature doit être préservée par la vérité et non les mensonges qu'alignent le Ministre de l'Environnement pour tromper le président de la République.Le président de la République du Bénin doit prendre ses responsabilités car il sera le seul comptable devant la nation et la nature.L'entourage pourri ne doit pas toucher à la nature. Le rétablissement des Directeurs de parcs( Pendjari et w) est inévitable car la nature a horreur de l'injustice.Les plantes et les animaux pleurent dans ses parcs à cause de l'injustice qu'à commis monsieur le MEHU. Le Dr Boni YAYI prit dans l'engrenage de la solidarité gouvernementale navigue à vue sans prise de décision adéquate. Le préservateur de la nature SINSIN doit cesser aussi de supporter le MEHU et lui dire la vérité afin d'être protégé comme toujours par la nature. Dr Boni Yayi, la paix pourra revenir dans cet univers naturel que si les deux Directeurs illégalement mutés sont rétablis. Nous devons cesser avec le régionalisme, le tribalisme, le népotisme afin de parvenir au développement
Merci à tous ceux qui pensent contribuer efficacement dans la résolution de cette crise.Seul le Dr Boni Yayi sera responsable de la destruction de ce patrimoine
Admin (lundi, 25 juin 2012 21:25)
Merci pour ce commentaire. Nous sommes contents d'apprendre que "le gouvernement cherche à parfaire la cogestion". Néanmoins, pendant les derniers mois, nous avons observés quelques actions du dit gouvernement qui ne cadrent pas entièrement avec ce louable objectif (voir les rubriques 'historique' et 'documents' de ce page). Nous sommes convaincus que les personnes provenant de l'extérieur ont également un droit légitime de s'engager pour la préservation du parc de la Pendjari, non seulement parce qu'il s'agit d'un patrimoine de valeur unique mais aussi vu les investissements énormes qui ont été fait par la communauté internationale afin de développer le système de cogestion. La durabilité de ces investissements devrait être un objectif commun du gouvernement béninois et de la communauté internationale. Dans le cadre de notre campagne nous avons (1) créé un site web fournissant des informations à tout le monde intéressé et invitons chacun à faire des ajouts; (2) lancé une pétition, c'est à dire un écrit adressé à une autorité pour formuler une demande et rappeler ainsi les autorités concernées d'agir. Chaque personne est libre de signer cette pétition et de démontrer ainsi son soutien à cette demande. Cela cadre parfaitement avec les principes de démocratie et de liberté d'expression proclamés par le gouvernement actuel du Bénin. Nous vous invitons donc de contribuer de façon constructive au dialogue promu par ce site web.
tanoungou (lundi, 25 juin 2012 11:40)
l'objectif de l'initiative visant la rcherche des voies et moyens pour assurer une gestion efficace de la Pendjari me semble louable. Cependant la procédure ne parait aucunement idoine. il faut que les gens évitent à partir de l'extrieur en complicité surement avec certains individus locaux dont les mobiles ne sont que de préserver leurs interets égoistes, évitent de saper les nobles actions entreprises depuis des décenies par l'Etat béninois. c'est le gouvernement qui était à l'initiative de la cogestion et cherche encore à la parfaire. personne ne le lui a imposée. c'est à lui qu'il revient de décider des orientations à lui donner. Qd les gens parlent du remplacement du directeur partant, il faut qu'ils aient l'honneté de dire qu'il a été remplacé par un intérimaire et le processus de recrutement des nouveaux directeurs est en voie d'etre finalisé. par ailleurs lorsqu'on parle du respect des textes, le conservateur partant a été recruté il ya 12 ans et il est stipulé que le recrutement est de 2 ans renouvellable. quelqu'un pourait il nous poster un avis de renouvellement quelconque sur la période. De grace laisser le gouv tranquille. Veuillez travailler à améliorer les choses plutot qu'à les interpréter tendancieusement. je suggererais enfin au Bénin de poursuivre les auteurs de cet acte de sabotag et leurs complices.
ABALO (vendredi, 01 juin 2012 13:27)
Enfin une initiative volontariste et sérieuse, susceptible d'impulser la réflexion et l'action pour sauver la Pendjari. Il faut absolument préserver les acquis de la cogestion, redonner confiance aux populations, avoir le courage d'intégrer les nouvelles approches de gestion des aires protégées, qui ont fait leurs preuves ailleurs en Afrique, notamment en Afrique australe. votre initiative a mon soutien et celui de nombreux autres amis de la Pendjari
Admin (vendredi, 01 juin 2012 10:12)
Des rumeurs nous sommes parvenus que l'UE a été sollicitée pour financer l'exploitation de gisement minéral dans le Parc National de la Pendjari et que les Ambassades ont été adressés pour la même cause. Si ceci est vrai, la Réserve est en plus grand danger que nous le pensions jusqu'à l'instant...